logo
#

Dernières actualités avec #Alexandre de Moraes

L'ex-président brésilien Jair Bolsonaro échappe pour l'heure à la prison
L'ex-président brésilien Jair Bolsonaro échappe pour l'heure à la prison

24 Heures

time5 days ago

  • Politics
  • 24 Heures

L'ex-président brésilien Jair Bolsonaro échappe pour l'heure à la prison

L'ancien président risquait la détention provisoire après s'être exprimé sur les réseaux sociaux, ce qui lui est interdit. Publié aujourd'hui à 15h41 Mis à jour il y a 49 minutes Jair Bolsonaro risquait la détention provisoire pour s'être exprimé sur les réseaux sociaux. AFP La Cour suprême du Brésil a décidé jeudi de ne pas placer l'ex-président Jair Bolsonaro en détention provisoire, mais l'a averti que serait le cas de façon «immédiate» s'il enfreignait de nouveau les mesures décidées contre lui, dont une interdiction de s'exprimer sur les réseaux sociaux. Le juge Alexandre de Moraes a considéré comme une «irrégularité isolée» le fait que les comptes d'un des fils de l'ancien président sur les réseaux sociaux «aient été utilisés en sa faveur». Sur Jair Bolsonaro Newsletter «Dernières nouvelles» Vous voulez rester au top de l'info? «24 heures» vous propose deux rendez-vous par jour, pour ne rien rater de ce qui se passe dans votre Canton, en Suisse ou dans le monde. Autres newsletters AFP Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.

Brésil : les avocats de Jair Bolsonaro assurent qu'il n'a pas enfreint l'interdiction d'utiliser les réseaux sociaux
Brésil : les avocats de Jair Bolsonaro assurent qu'il n'a pas enfreint l'interdiction d'utiliser les réseaux sociaux

Le Figaro

time7 days ago

  • Politics
  • Le Figaro

Brésil : les avocats de Jair Bolsonaro assurent qu'il n'a pas enfreint l'interdiction d'utiliser les réseaux sociaux

La défense de Jair Bolsonaro a nié mardi que l'ex-président brésilien ait enfreint une ordonnance judiciaire lui interdisant de s'exprimer sur les réseaux sociaux, après qu'un juge de la Cour suprême l'a menacé «d'emprisonnement immédiat». L'ancien dirigeant d'extrême droite (2019-2022), jugé pour tentative de coup d'État contre l'actuel président de gauche Luiz Inacio Lula da Silva, s'est vu contraint vendredi de porter dorénavant un bracelet électronique et de ne plus recourir aux réseaux sociaux. Publicité Interdiction d'utiliser ses comptes de réseaux sociaux et ceux de tiers Ainsi, lorsque Bolsonaro a fait des déclarations aux médias lundi, rapidement relayées sur les réseaux sociaux, le juge Alexandre de Moraes a donné 24 heures à ses avocats pour présenter des éclaircissements, «sous peine de décréter son emprisonnement immédiat». Jair Bolsonaro «n'a en aucun cas été interdit de donner des interviews» et n'a donc «pas enfreint» l'ordonnance, ont répondu ses avocats dans un communiqué. «Il n'a rien publié, n'a pas accédé à ses réseaux sociaux et n'a pas demandé à des tiers de le faire à sa place», ont-ils ajouté. Interrogé par l'AFP, le Tribunal suprême fédéral a dit ne pas savoir quelle serait la prochaine étape, bien que les médias brésiliens indiquent que le juge pourrait consulter le parquet avant de se prononcer sur l'éventuelle violation. Vendredi, le magistrat a interdit à l'ancien président d'utiliser ses comptes de réseaux sociaux et ceux de tiers. Et lundi, le juge a précisé que toute diffusion sur des plateformes des interventions de Jair Bolsonaro, qui avait accordé plusieurs interviews pendant le week-end, constituerait une violation des mesures et a averti que l'ancien président risquait d'être arrêté. Les avocats ont affirmé qu'il n'avait pas été informé de cette deuxième décision. Le juge a justifié ces mesures en lui reprochant d'inciter, avec son fils Eduardo, à des «actes hostiles» des États-Unis contre le Brésil et de tenter de faire «obstruction» au procès, dont il a la charge.

Brésil: Menacé d'emprisonnement, Bolsonaro se défend
Brésil: Menacé d'emprisonnement, Bolsonaro se défend

24 Heures

time7 days ago

  • Politics
  • 24 Heures

Brésil: Menacé d'emprisonnement, Bolsonaro se défend

L'ex-président brésilien Jair Bolsonaro n'a pas enfreint l'interdiction d'utiliser les réseaux sociaux, affirment ses avocats. Publié aujourd'hui à 04h06 Mis à jour il y a 8 minutes Jair Bolsonaro arrive au Congrès national à Brasília pour rencontrer des législateurs du Parti libéral, le 21 juillet 2025. AFP La défense de Jair Bolsonaro a nié mardi que l'ex-président brésilien ait enfreint une ordonnance judiciaire lui interdisant de s'exprimer sur les réseaux sociaux, après qu'un juge de la Cour suprême l'a menacé «d'emprisonnement immédiat». L'ancien dirigeant d'extrême droite (2019-2022), jugé pour tentative de coup d'Etat contre l'actuel président de gauche Luiz Inacio Lula da Silva, s'est vu contraint vendredi de porter dorénavant un bracelet électronique et de ne plus recourir aux réseaux sociaux. Ainsi, lorsque Jair Bolsonaro a fait des déclarations aux médias lundi, rapidement relayées sur les réseaux sociaux, le juge Alexandre de Moraes a donné 24 heures à ses avocats pour présenter des éclaircissements, «sous peine de décréter son emprisonnement immédiat». Jair Bolsonaro «n'a en aucun cas été interdit de donner des interviews» et n'a donc «pas enfreint» l'ordonnance, ont répondu ses avocats dans un communiqué. «Il n'a rien publié, n'a pas accédé à ses réseaux sociaux et n'a pas demandé à des tiers de le faire à sa place», ont-ils ajouté. Suspense Interrogé par l'AFP, le Tribunal suprême fédéral a dit ne pas savoir quelle serait la prochaine étape, bien que les médias brésiliens indiquent que Alexandre de Moraes pourrait consulter le parquet avant de se prononcer sur l'éventuelle violation. Vendredi, le magistrat a interdit à Jair Bolsonaro d'utiliser ses comptes de réseaux sociaux et ceux de tiers. Et lundi, Alexandra de Moraes a précisé que toute diffusion sur des plateformes des interventions de Jair Bolsonaro – qui avait accordé plusieurs interviews pendant le week-end – constituerait une violation des mesures et a averti que l'ancien président risquait d'être arrêté. Les avocats de Jair Bolsonaro ont affirmé qu'il n'avait pas été informé de cette deuxième décision. Alexandre de Moraes a justifié ces mesures en lui reprochant d'inciter, avec son fils Eduardo, à des «actes hostiles» des Etats-Unis contre le Brésil et de tenter de faire «obstruction» au procès, dont il a la charge. La pression judiciaire s'accroît sur Jair Bolsonaro en pleine crise diplomatique entre le Brésil et les Etats-Unis. Dénonçant une «chasse aux sorcières» à l'encontre de son allié, le président américain Donald Trump a menacé le Brésil de droits de douane supplémentaires de 50% à partir d'août. Lula a réprouvé un «chantage inacceptable». Newsletter «Dernières nouvelles» Vous voulez rester au top de l'info? «24 heures» vous propose deux rendez-vous par jour, pour ne rien rater de ce qui se passe dans votre Canton, en Suisse ou dans le monde. Autres newsletters AFP Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.

Les avocats de Bolsonaro affirment qu'il n'a pas enfreint une ordonnance judiciaire
Les avocats de Bolsonaro affirment qu'il n'a pas enfreint une ordonnance judiciaire

La Presse

time23-07-2025

  • Politics
  • La Presse

Les avocats de Bolsonaro affirment qu'il n'a pas enfreint une ordonnance judiciaire

(Brasilia) La défense de Jair Bolsonaro a nié mardi que l'ex-président brésilien ait enfreint une ordonnance judiciaire lui interdisant de s'exprimer sur les réseaux sociaux, après qu'un juge de la Cour suprême l'a menacé « d'emprisonnement immédiat ». Agence France-Presse L'ancien dirigeant d'extrême droite (2019-2022), jugé pour tentative de coup d'État contre l'actuel président de gauche Luiz Inacio Lula da Silva, s'est vu contraint vendredi de porter dorénavant un bracelet électronique et de ne plus recourir aux réseaux sociaux. Ainsi, lorsque M. Bolsonaro a fait des déclarations aux médias lundi, rapidement relayées sur les réseaux sociaux, le juge Alexandre de Moraes a donné 24 heures à ses avocats pour présenter des éclaircissements, « sous peine de décréter son emprisonnement immédiat ». Jair Bolsonaro « n'a en aucun cas été interdit de donner des entrevues » et n'a donc « pas enfreint » l'ordonnance, ont répondu ses avocats dans un communiqué. « Il n'a rien publié, n'a pas accédé à ses réseaux sociaux et n'a pas demandé à des tiers de le faire à sa place », ont-ils ajouté. Interrogé par l'AFP, le Tribunal suprême fédéral a dit ne pas savoir quelle serait la prochaine étape, bien que les médias brésiliens indiquent que M. de Moraes pourrait consulter le parquet avant de se prononcer sur l'éventuelle violation. Vendredi, le magistrat a interdit à M. Bolsonaro d'utiliser ses comptes de réseaux sociaux et ceux de tiers. Et lundi, M. de Moraes a précisé que toute diffusion sur des plateformes des interventions de M. Bolsonaro – qui avait accordé plusieurs interviews pendant le week-end – constituerait une violation des mesures et a averti que l'ancien président risquait d'être arrêté. Les avocats de Jair Bolsonaro ont affirmé qu'il n'avait pas été informé de cette deuxième décision. M. de Moraes a justifié ces mesures en lui reprochant d'inciter, avec son fils Eduardo, à des « actes hostiles » des États-Unis contre le Brésil et de tenter de faire « obstruction » au procès, dont il a la charge. La pression judiciaire s'accroît sur M. Bolsonaro en pleine crise diplomatique entre le Brésil et les États-Unis. Dénonçant une « chasse aux sorcières » à l'encontre de son allié, le président américain Donald Trump a menacé le Brésil de droits de douane supplémentaires de 50 % à partir d'août. Lula a réprouvé un « chantage inacceptable ».

Brésil: Jair Bolsonaro risque la prison pour avoir utilisé les réseaux sociaux
Brésil: Jair Bolsonaro risque la prison pour avoir utilisé les réseaux sociaux

24 Heures

time22-07-2025

  • Politics
  • 24 Heures

Brésil: Jair Bolsonaro risque la prison pour avoir utilisé les réseaux sociaux

Jair Bolsonaro est requis depuis vendredi de ne plus recourir aux réseaux sociaux, mais a du mal à se plier à la règle. Publié aujourd'hui à 03h40 Jair Bolsonaro s'adresse à la presse au Sénat fédéral à Brasília, le 17 juillet 2025. AFP Un juge de la Cour suprême du Brésil a donné 24 heures aux avocats de Jair Bolsonaro pour expliquer le «non-respect» de l'interdiction faite à l'ex-président d'utiliser les réseaux sociaux, «sous peine d'emprisonnement immédiat», selon un document judiciaire consulté par l'AFP lundi. L'ancien dirigeant d'extrême droite (2019-2022), jugé pour tentative de coup d'État contre l'actuel président de gauche Luiz Inacio Lula da Silva, s'est vu contraint vendredi de porter dorénavant un bracelet électronique et de ne plus recourir aux réseaux sociaux. Le juge de la Cour suprême Alexandre de Moraes a justifié ces mesures en lui reprochant d'inciter, avec son fils Eduardo, à des «actes hostiles» des États-Unis contre le Brésil et de tenter de faire «obstruction» au procès, dont il a la charge. Pression judiciaire En réaction, l'ancien président a fait lundi des déclarations aux médias, qui ont été rapidement diffusées sur les réseaux, provoquant l'avertissement judiciaire. La pression judiciaire s'accroît sur Jair Bolsonaro en pleine crise diplomatique entre le Brésil et les États-Unis. Dénonçant une «chasse aux sorcières» à l'encontre de son allié, le président américain Donald Trump a menacé le Brésil de droits de douane supplémentaires de 50% à partir d'août. Lula a réprouvé un «chantage inacceptable». Jair Bolsonaro, 70 ans, voit dans son procès une «persécution» et risque plus de 40 ans de prison. Le parquet a demandé sa condamnation et celle de sept de ses collaborateurs de l'époque pour avoir essayé d'assurer leur «maintien autoritaire au pouvoir». Jair Bolsonaro est en outre inéligible jusqu'en 2030 pour désinformation sur le système de vote électronique utilisé pour le scrutin de 2022. Plaidant pour une large amnistie, il espère faire annuler son inéligibilité pour concourir à la présidentielle de 2026. En lire plus sur Jair Bolsonaro Newsletter «Dernières nouvelles» Vous voulez rester au top de l'info? «24 heures» vous propose deux rendez-vous par jour, pour ne rien rater de ce qui se passe dans votre Canton, en Suisse ou dans le monde. Autres newsletters AFP Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.

TÉLÉCHARGER L'APPLICATION

Commencez dès maintenant : Téléchargez l'application

Prêt à plonger dans un monde de contenu mondial aux saveurs locales? Téléchargez l'application Daily8 dès aujourd'hui sur votre app store préféré et commencez à explorer.
app-storeplay-store